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Lundi - vendredi ( 9h00 - 20h30 )

DES en Gastroentérologie et Endoscopie digestive

DR. JUAN AMARIS

 

 

Le Docteur Juan Amaris est gastro-entérologue et endoscopiste exerçant en établissement privé à Paris.

La spécialité du Docteur Amaris
est l’appareil digestif, son fonctionnement, ses pathologies et le traitement des organes qui le constituent. Il est notamment spécialiste des maladies hépatobiliaires et bilio pancréatiques à savoir les maladies du foie, de la vésicule et des voies biliaires, les maladies du pancréas et de la rate.

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34, Avenue d'Eylau -75116 - Tél : 01 47 27 02 54
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Horaires d'ouverture secrétariat

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EXPERTISES

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Gastro-entérologie

La gastro-entérologie est une discipline médicale qui concerne l'ensemble de l'appareil digestif, les intestins mais aussi le foie, les voies biliaires, le pancréas, etc
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Endoscopie interventionnelle

Le terme Endoscopie est un terme générique, qui signifie "regarder à l'intérieur ». Si ces examens donnent lieu à des petites interventions par exemple une exérèse de lésions alors on appelle ça de la fibroscopie interventionnelle .
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Coloscopie

La coloscopie est un examen du colon, grâce à une fibre optique souple qui par le biais d'une caméra permet de visualiser sur un écran vidéo la paroi interne de cet organe.
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Hépatologie

L'hépatologie est une spécialité médicale branche de la gastro-entérologie qui étudie le fonctionnement et les maladies du foie et des voies biliaires.
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Fibroscopie

Tous les examens endoscopiques sont réalisés grâce à une fibre optique souple (fibroscopie) qui par le biais d'une caméra permet de visualiser sur un écran vidéo tout ou partie de l'organe concerné par cette endoscopie.

Tout savoir sur les calculs biliaires

Les calculs biliaires (ou lithiase biliaire) se forment dans la vésicule biliaire, un petit organe situé sous le foie. Ces calculs sont des dépôts solides de substances présentes dans la bile, un liquide produit par le foie pour aider à la digestion des graisses. La lithiase biliaire est assez courante, mais tous les calculs ne provoquent pas de symptômes.

Types de calculs biliaires :

    1.    Calculs de cholestérol : Les plus fréquents, ils sont principalement composés de cholestérol cristallisé.
    2.    Calculs pigmentaires : Moins fréquents, ils sont constitués de bilirubine, un sous-produit de la dégradation des globules rouges.

Causes et facteurs de risque :

    •    Excès de cholestérol dans la bile : Lorsque la bile contient plus de cholestérol que ce que le corps peut dissoudre.
    •    Excès de bilirubine : Certaines conditions, comme la cirrhose ou des infections des voies biliaires, augmentent la quantité de bilirubine.
    •    Concentration excessive de la bile : Si la vésicule biliaire ne se vide pas correctement, la bile devient trop concentrée, favorisant la formation de calculs.

Facteurs de risque :

    •    Âge : Les personnes de plus de 40 ans sont plus à risque.
    •    Sexe : Les femmes, surtout celles qui ont eu plusieurs grossesses, sont plus susceptibles de développer des calculs.
    •    Obésité et surpoids.
    •    Diabète.
    •    Jeûne prolongé ou perte rapide de poids.
    •    Hérédité : Des antécédents familiaux de lithiase biliaire augmentent le risque.
    •    Certains médicaments (contraceptifs oraux, thérapie hormonale).

Symptômes :

La majorité des personnes atteintes de calculs biliaires sont asymptomatiques (pas de symptômes). Cependant, lorsqu'un calcul bloque un conduit biliaire, il peut causer des symptômes appelés "colique biliaire" :
    •    Douleur intense dans la partie supérieure droite de l'abdomen.
    •    Douleur irradiant vers l’épaule droite ou entre les omoplates.
    •    Nausées et vomissements.
    •    Jaunisse (si le conduit biliaire est bloqué).
    •    Fièvre ou frissons (en cas d'infection associée, cholécystite).


conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
Complications possibles :

    •    Cholécystite :
Inflammation de la vésicule biliaire.
    •    Pancréatite aiguë : Inflammation du pancréas si un calcul bloque le canal pancréatique.
    •    Angiocholite : Infection des voies biliaires.

Traitements :

    •    Observation :
En l'absence de symptômes, il n'est généralement pas nécessaire de traiter les calculs biliaires.
    •    Médicaments : Certains médicaments (comme l'acide ursodésoxycholique) peuvent dissoudre les calculs, mais ils ne sont pas toujours efficaces et sont souvent réservés aux personnes qui ne peuvent pas être opérées.
    •    Cholécystectomie : Il s'agit de l'ablation chirurgicale de la vésicule biliaire, recommandée si les calculs provoquent des symptômes. Cette chirurgie peut être effectuée par laparoscopie (peu invasive) ou, dans des cas plus complexes, par une chirurgie ouverte.
    •    Lithotritie extracorporelle par ondes de choc : Utilisée rarement, cette technique vise à fragmenter les calculs à l'aide d'ondes de choc.

Prévention :

  
 1.    Alimentation équilibrée :
    ◦    Éviter les excès de graisses saturées et les régimes trop riches en calories.
    ◦    Privilégier les fibres alimentaires, les fruits et légumes.
    ◦    Réduire la consommation de sucre et d’aliments transformés.
    2.    Maintien d'un poids sain :
    ◦    Éviter les régimes draconiens ou la perte de poids trop rapide.
    ◦    Pratiquer une activité physique régulière.
    3.    Éviter les jeûnes prolongés : Manger régulièrement aide à maintenir la vésicule biliaire active.

    4.    Surveillance des traitements hormonaux : Les femmes prenant des contraceptifs oraux ou suivant une thérapie hormonale doivent être attentives au risque accru de formation de calculs biliaires.


Conclusion :

Les calculs biliaires sont souvent asymptomatiques, mais ils peuvent entraîner des douleurs et des complications graves. Une alimentation équilibrée, le maintien d’un poids sain et l’évitement des jeûnes prolongés peuvent réduire le risque de formation de calculs. En cas de symptômes, la cholécystectomie reste le traitement le plus couramment utilisé pour éviter les récidives et les complications.

N'oubliez pas de consulter le Docteur Juan Amaris pour des conseils personnalisés en fonction de votre état de santé spécifique.

Consultez votre hépato-gastroentérologue le Dr Juan Amaris

Tout savoir sur les différentes hépatites

Les hépatites sont un groupe de maladies caractérisées par une inflammation du foie. Elles peuvent être causées par divers facteurs, notamment des infections virales, l'abus d'alcool, des toxines, certains médicaments, ou des maladies auto-immunes.
Voici un aperçu des principales formes d'hépatite :

1. Hépatites virales
Les hépatites virales sont les formes les plus courantes et sont causées par des virus spécifiques. Il existe cinq principaux types d'hépatites virales :

    •    Hépatite A (VHA) :
    ◦    Transmission : Principalement par l'ingestion d'aliments ou d'eau contaminés par des matières fécales (voie féco-orale).
    ◦    Symptômes : Fièvre, fatigue, perte d'appétit, nausées, jaunisse.
    ◦    Pronostic : Généralement aiguë et auto-limitée; rarement chronique. La guérison est souvent complète en quelques semaines à quelques mois.
    ◦    Prévention : Vaccin disponible.

    •    Hépatite B (VHB) :
    ◦    Transmission : Contact avec le sang, le sperme ou d'autres fluides corporels infectés, souvent par des rapports sexuels non protégés, le partage de seringues, ou de la mère à l'enfant pendant l'accouchement.
    ◦    Symptômes : Similaires à ceux de l'hépatite A, mais peuvent être plus graves.
    ◦    Pronostic : Peut évoluer vers une infection chronique, augmentant le risque de cirrhose et de cancer du foie.
    ◦    Prévention : Vaccin disponible.

    •    Hépatite C (VHC) :
    ◦    Transmission : Principalement par contact avec du sang contaminé (partage de seringues, transfusions sanguines non sécurisées avant 1992).
    ◦    Symptômes : Souvent asymptomatique dans les phases initiales, ce qui conduit à une infection chronique dans 75-85 % des cas.
    ◦    Pronostic : Risque élevé de cirrhose et de cancer du foie. Traitement efficace disponible (antiviraux à action directe).
    ◦    Prévention : Pas de vaccin, prévention basée sur la réduction des risques (utilisation de matériel stérile, protection lors des rapports sexuels).

    •    Hépatite D (VHD) :
    ◦    Transmission : Similaire à celle de l'hépatite B, le virus de l'hépatite D ne peut infecter qu'en présence du virus de l'hépatite B.
    ◦    Symptômes : Aggrave les symptômes et l'évolution de l'hépatite B.
    ◦    Pronostic : Peut entraîner une forme plus grave de maladie hépatique.
    ◦    Prévention : La vaccination contre l'hépatite B protège également contre l'hépatite D.

    •    Hépatite E (VHE) :
    ◦    Transmission : Principalement par l'eau contaminée (voie féco-orale), plus fréquente dans les pays en développement.
    ◦    Symptômes : Similaires à ceux de l'hépatite A.
    ◦    Pronostic : Généralement aiguë et auto-limitée. Peut être grave chez les femmes enceintes.
    ◦    Prévention : Vaccin disponible dans certains pays, mesures d'hygiène pour prévenir la contamination.


conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
2. Hépatite alcoolique

  
 •    Cause : Consommation excessive d'alcool sur une longue période.
    •    Symptômes : Douleur abdominale, jaunisse, nausées, fatigue.
    •    Pronostic : Peut évoluer vers une cirrhose, une insuffisance hépatique. La gravité dépend de la quantité et de la durée de consommation d'alcool.
    •    Traitement : Arrêt de la consommation d'alcool, prise en charge médicale, éventuellement transplantation hépatique en cas de cirrhose terminale.

3. Hépatite médicamenteuse (toxique)

  
 •    Cause : Réaction toxique du foie à certains médicaments, herbes médicinales ou substances chimiques.
    •    Symptômes : Varient selon l'agent en cause; jaunisse, fatigue, douleurs abdominales.
    •    Pronostic : Le pronostic dépend de l'arrêt rapide de l'exposition à la substance toxique.
    •    Traitement : Arrêt du médicament ou de la substance responsable, soins de soutien.

4. Hépatite auto-immune

    •    Cause : Maladie auto-immune où le système immunitaire attaque les cellules du foie.
    •    Symptômes : Fatigue, douleurs articulaires, jaunisse, prurit (démangeaisons).
    •    Pronostic : Peut évoluer vers une cirrhose si non traitée.
    •    Traitement : Immunosuppresseurs (comme les corticostéroïdes) pour réduire l'inflammation.

5. Hépatite non-alcoolique (stéato-hépatite non alcoolique)

  
 •    Cause : Accumulation de graisse dans le foie sans consommation excessive d'alcool (associée à l'obésité, le diabète de type 2, etc.).
    •    Symptômes : Souvent asymptomatique, peut causer fatigue et douleurs abdominales.
    •    Pronostic : Peut évoluer vers une cirrhose ou un cancer du foie.
    •    Traitement : Perte de poids, gestion du diabète, exercice physique.

Conclusion
Les hépatites couvrent un large spectre de maladies du foie avec des causes, des traitements et des préventions variés. Un diagnostic précoce et une gestion appropriée sont essentiels pour éviter les complications graves, y compris la cirrhose et le cancer du foie. La vaccination, notamment contre les hépatites A et B, et des mesures d'hygiène appropriées sont des moyens clés pour prévenir certaines de ces infections.

Prenez soin de votre foie, car il joue un rôle vital dans votre santé globale.
N'oubliez pas de consulter le Docteur Juan Amaris pour des conseils personnalisés en fonction de votre état de santé spécifique.

Consultez votre hépato-gastroentérologue le Dr Juan Amaris

Les intolérances alimentaires

La gastroentérologie est la branche de la médecine qui se concentre sur le système digestif et ses troubles, incluant les intolérances alimentaires. Les gastroentérologues jouent un rôle crucial dans le diagnostic, le traitement et la gestion des intolérances alimentaires.

Rôle de la Gastroentérologie dans les Intolérances Alimentaires

    1.    Diagnostic Précis :
    ◦    Consultations et antécédents médicaux : Les gastroentérologues examinent les antécédents médicaux et les symptômes du patient pour identifier les signes d’intolérances alimentaires.
    ◦    Tests diagnostiques :
    ▪    Tests respiratoires : Utilisés pour diagnostiquer l'intolérance au lactose, ils mesurent la quantité d'hydrogène dans l'haleine après ingestion de lactose.
    ▪    Biopsies intestinales : Pour la maladie cœliaque, une biopsie de l'intestin grêle peut être réalisée pour détecter des dommages à la muqueuse intestinale.
    ▪    Tests sanguins : Utilisés pour vérifier la présence d’anticorps spécifiques (anticorps anti-transglutaminase) dans le cas de la maladie cœliaque.
  
    2.    Gestion des Symptômes :
    ◦    Régimes alimentaires personnalisés : Les gastroentérologues travaillent avec des nutritionnistes pour créer des régimes spécifiques adaptés aux besoins individuels.
    ◦    Suppléments enzymatiques : Pour certaines intolérances comme celle au lactose, des enzymes de substitution (comme les comprimés de lactase) peuvent être prescrites.

    3.    Suivi à Long Terme :
    ◦    Surveillance de la santé : Les patients avec des intolérances alimentaires chroniques, comme la maladie cœliaque, nécessitent un suivi régulier pour surveiller l'efficacité du régime et prévenir les complications à long terme (par exemple, l'ostéoporose, l'anémie).
    ◦    Éducation et soutien : Les gastroentérologues fournissent des informations et du soutien pour aider les patients à s'adapter à leur nouvelle alimentation et à maintenir une bonne qualité de vie.

cancer du colon et de l’estomac. Irritation du colon - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
Intolérances Alimentaires et Troubles Gastro-Intestinaux

Certaines intolérances alimentaires peuvent être associées ou confondues avec d'autres troubles gastro-intestinaux :

    1.    Syndrome de l'intestin irritable (SII) :
    ◦    FODMAPs : Les personnes atteintes du SII peuvent avoir des symptômes aggravés par les aliments riches en FODMAPs. Un régime faible en FODMAPs est souvent recommandé.
    ◦    Symptômes : Ballonnements, douleurs abdominales, diarrhée, constipation.

    2.    Maladies inflammatoires de l'intestin (MII) :
    ◦    Maladie de Crohn et colite ulcéreuse : Ces maladies peuvent provoquer des intolérances alimentaires secondaires dues à l'inflammation et aux lésions intestinales.
    ◦    Symptômes : Diarrhée, douleurs abdominales, saignements rectaux, perte de poids.

Approches Thérapeutiques en Gastroentérologie

    •    Thérapies diététiques : Élimination ou réduction des aliments déclencheurs, adoption de régimes spécifiques (sans gluten, faible en FODMAPs).
    •    Médications : Suppléments enzymatiques (lactase), médicaments pour soulager les symptômes (antispasmodiques, anti-diarrhéiques).
    •    Probiotiques : Utilisés pour améliorer la santé intestinale et réduire certains symptômes digestifs.

Conclusion
La gastroentérologie joue un rôle clé dans la prise en charge des intolérances alimentaires, en offrant des diagnostics précis et en élaborant des plans de traitement personnalisés. Grâce à une collaboration étroite avec des nutritionnistes et d'autres spécialistes, les gastroentérologues aident les patients à gérer leurs symptômes et à maintenir une vie saine et équilibrée.

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MARS BLEU 2024

Mars bleu mois du cancer colorectal
Le dépistage peut vous sauver la vie


Le cancer colorectal  touche  plus de 43 000 personnes chaque année, soit près de 120 cas diagnostiqués par jour.

C'est après 50 ans que 95% des cancers colorectaux surviennent .

Avec un dépistage suffisamment tôt, le cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10.

Faites-vous depister. Parler-en au docteur Juan Amaris.
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cancer du colon et de l’estomac. Irritation du colon - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
cancer du colon et de l’estomac. Irritation du colon - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie

Le Cancer Colorectal : Comprendre la Maladie, ses Symptômes et ses Traitements

Le cancer colorectal, également appelé cancer du côlon ou cancer du rectum, est un type de cancer qui se développe dans le gros intestin (côlon) ou dans la partie terminale du gros intestin (rectum). Il s'agit d'une maladie courante qui peut affecter aussi bien les hommes que les femmes.

Il existe plusieurs types de cancers colorectaux, notamment :

- Adénocarcinome : Il s'agit du type le plus courant de cancer colorectal, qui se forme dans les cellules glandulaires de la paroi interne du côlon ou du rectum.
- Carcinoïde : Un type rare de cancer colorectal qui se forme dans les cellules endocrines du côlon ou du rectum.
- Lymphome : Une forme de cancer qui affecte le système lymphatique du côlon ou du rectum.

Qu'est-ce que le Cancer Colorectal ?

Le cancer colorectal se forme lorsque des cellules anormales se développent dans la paroi interne du côlon ou du rectum. Ces cellules anormales peuvent se transformer en tumeurs malignes, qui peuvent ensuite envahir les tissus voisins et se propager à d'autres parties du corps.

Facteurs de Risque

Plusieurs facteurs peuvent augmenter le risque de développer un cancer colorectal, notamment :
Âge avancé : Le risque de cancer colorectal augmente avec l'âge.
Antécédents familiaux : Les personnes ayant des antécédents familiaux de cancer colorectal ont un risque plus élevé.
Régime alimentaire : Une alimentation riche en viande rouge et en graisses saturées peut augmenter le risque.
Sédentarité : Le manque d'exercice physique est également un facteur de risque.
Tabagisme et consommation d'alcool : Ces habitudes peuvent augmenter le risque de cancer colorectal.

Symptômes

Les symptômes du cancer colorectal peuvent varier d'une personne à l'autre, mais ils peuvent inclure :
Changements dans les habitudes intestinales (diarrhée ou constipation)
Sang dans les selles
Douleurs abdominales persistantes
Fatigue inexpliquée
Perte de poids inexpliquée

Diagnostic et Traitement

Le dépistage précoce du cancer colorectal est essentiel pour augmenter les chances de guérison. Les méthodes de dépistage comprennent la coloscopie, les tests de sang occulte dans les selles et la sigmoïdoscopie.

En ce qui concerne le traitement, plusieurs options sont disponibles, notamment :
Chirurgie : Pour retirer la tumeur et les tissus environnants affectés.
Chimiothérapie : Utilisation de médicaments pour détruire les cellules cancéreuses.
Radiothérapie : Utilisation de rayons X à haute énergie pour détruire les cellules cancéreuses.

Prévention

La prévention du cancer colorectal passe par un mode de vie sain, incluant une alimentation équilibrée riche en fibres et en légumes, la pratique régulière d'exercice physique, l'arrêt du tabagisme et la limitation de la consommation d'alcool. Le dépistage régulier est également crucial pour détecter et traiter la maladie à un stade précoce.

Il est important de consulter en cas de symptômes suspects ou pour des conseils sur le dépistage et la prévention du cancer colorectal


Docteur Juan Amaris Paris